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Dans le cadre du renforcement de la lutte contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes sur le lieu de travail, toutes les structures ayant un comité social et économique (CSE) – y compris ceux des entreprises entre 11 et 50 salariés - doivent nommer, en son sein, un référent en matière de lutte contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes.
Les associations qui se sont dotées d’un CSE ou qui doivent le faire d’ici la fin de l’année 2019, doivent donc nommer ce référent.