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Renforcer mon projet associatif, diversifier mon offre ou mes activités, être plus fort dans les négociations, le choix du type de rapprochement (de la simple coopération ponctuelle à la fusion) dépend de l’intensité des collaborations envisagées mais aussi du degré d’autonomie souhaité en matière de projet social et de prise de décision.
Le « voisinage », la « colocation », l' « union libre » ou le « mariage » : pour découvrir quel type de rapprochement correspond à votre situation utilisez notre questionnaire à télécharger : [TEST] Quelles stratégies de rapprochement entre associations ?
Le « voisinage ». Il s’agit d’un premier pas. Vous êtes capable de mener votre activité à plusieurs mais vous ne souhaitez pas remettre en cause votre autonomie et la raison d’être de votre entreprise. Vous savez que vous ne pouvez pas tout faire seul mais vous ne souhaitez pas non plus trop vous impliquer sur le long terme. Il peut s’agir d’une première marche vers d’autres formes de rapprochement. Selon vos motivations (politiques, économiques ou autre) vous pourrez envisager une coopération via des groupements momentanés d’entreprises (GME) pour accéder à des marchés publics, le partage informel de moyens dans le cadre d’une coordination d’activité ou de filière.
-> En savoir plus : Guide de France Active : « Je joue collectif. Pour toute forme de coopération et de fusion ».