© Babouse
Direction collégiale, coprésidence, absence de président, assemblées générales décisionnaires fréquentes, conseil d’administration sans hiérarchie, délégations de pouvoir et de signature… En principe, la gouvernance est affaire de statuts, rédigés librement par les personnes réunies pour faire association.
De nombreuses associations cherchent à mettre en place des fonctionnements plus horizontaux et plus participatifs et inscrivent dans leurs statuts des règles qui privilégient la participation du plus grand nombre. Quelles en sont les limites juridiques ?
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