La politique de la ville a été redéfinie par la loi de programmation pour la ville et la rénovation urbaine du 21 février 2014. L’enjeu est désormais de savoir quelle place effective les associations pourront prendre à la table des négociations.
Dans un contexte de restriction budgétaire, les acteurs associatifs représentent aujourd’hui, selon le Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET, anciennement Acsé), « plus de 60 % des 12 000 opérateurs soutenus au titre des crédits spécifiques de la politique de la ville. Ils portent la majorité des quelque 25 000 actions mises en oeuvre sur le territoire ».
13 947 euros par association
Ce sont donc 7 500 associations de proximité[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Pas encore abonné ?