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Les nouveaux cadres juridiques mis en place ces dernières années ont simplifié les procédures de passation des marchés publics. Grâce aux achats publics responsables, les acheteurs publics peuvent intégrer une dimension environnementale ou sociale à leur consommation ce qui devrait profiter aux structures, telles les associations, fournissant des biens et services répondant à ce cadre.
Pourtant, l’étude de Patricia Lexcellent présentée au nom de la délégation à la prospective et à l’évaluation des politiques publiques présentée le 27 mars montre que ces possibilités sont sous-exploitées. Atteindre les objectifs initialement fixés demandent des changements de pratiques tant des acheteurs publics que des prestataires, notamment dans la manière de formuler et présenter la demande et les offres.
