© Philippe Devanne
Dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités, gérées de manière désintéressée, une association peut être amenée à utiliser des moyens financiers plus ou moins importants. Elle dispose parfois d’excédents de trésorerie qu’il peut être légitime de placer (ne serait-ce que pour leur conserver le même pouvoir d’achat). Cependant, afin de rester dans l’esprit de la loi de 1901, l’association doit veiller à ce que le moyen que représente le placement financier ne devienne pas un but en soi. Il existe différents placements, comme le livret A pour les associations (non soumises à l’impôt sur les sociétés), le compte sur livret (CSL), le bon de caisse (BDC), les parts sociales, le compte à terme (CAT) ou les organismes de placements collectifs (OPC), voire les contrats de capitalisation. Pour savoir quels types de placement correspondent le mieux à l’association, la banque a un devoir de conseil (réglementation MIF II), et pourra vous[…]
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