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Le bouleversement du marché immobilier au cours de ces dernières années conduit de plus en plus d’associations à se mettre en colocation, sous l’égide d’un bail collectif ou en contractant chacune leur propre bail avec un même bailleur. Le partage de locaux peut également s’inscrire dans le cadre d’une sous-location.
Si la colocation est plus souple que la sous-location, il faut faire attention à la clause de solidarité qui accompagne souvent les baux collectifs.
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