© Michel Cambon
Le sénateur Savin a déposé le 27 février une proposition de loi tendant à renforcer la protection des mineurs face aux violences sexuelles dans le sport. Mais c’est surtout la vigilance de chacun qui permettra de faire en sorte que le sport reste une pratique ludique et protégée.
Le Comité national olympique et sportif français (Cnosf) le rappelle : « Toute situation de violence mérite une action ; choisir de ne rien faire, c’est s’en rendre complice ». La non-dénonciation de crime ou d’agression sexuelle est d’ailleurs un délit puni de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende (articles 434-1 et 434-3 du code pénal).
Signaux d’alerte
S’ils ne permettent pas de conclure qu’une personne est victime de violences sexuelles, certains comportements, en particulier lorsqu’ils apparaissent soudainement, peuvent mettre en lumière une situation problématique.
Ainsi, on sera attentif à une perte de confiance en soi ou envers les autres ; un[…]
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Sylvain SALAUN - 05/05/2020 13h:34
Je voulais juste signaler que le 08VICTIMES, cité dans l'article, très intéressant par ailleurs, n'existe plus. Il est remplacé par le 116006 (appel et service gratuits, 7j/7 de 9h à 19h). Plus d'informations sur le site du ministère de la Justice : http://www.justice.gouv.fr/aide-aux-victimes-10044/116006-12126/
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