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La dernière étude de l’Insee confirme que la situation des plus précaires s’est aggravée avec la crise sanitaire. Elle a eu un impact important sur leurs conditions de vie.
Entre mars 2020 et novembre-décembre 2021, 44 % de ces personnes déclarent avoir vu leurs revenus baisser (perte d’emploi ou de prestation sociale, suite à une séparation…), 50 % leurs dépenses augmenter ou les deux pour 27 %.
La dégradation imputée à l’épidémie concerne également leur santé psychique (50 %), leur santé physique (31 %), les relations sociales (30 %), l’accès à l’alimentation (30 %), l’accès aux soins médicaux (26 %) et l’accès aux services d’aide sociale (24 %).
